Savez-vous qu’aux Etats-Unis, on éduque les enfants à « l’antiracisme » et à la théorie du genre dès la naissance, grâce à des albums adaptés en fonction de l’âge ? 

Savez-vous aussi, qu’à l’école maternelle on apprend à leur parler de « personnes à vulves » et de « personnes à pénis » pour éviter les termes offensants : « femme » et « homme ». 

Un journal peut titrer : « Un trans-homme accouche après utilisation d’un don de « sperme féminin ». 

C’est Mme Sylvie Perez qui l’écrit dans son livre : « En finir avec le wokisme » publié aux Editions du Cerf. Elle souligne aussi que la Grande-Bretagne propose des « zones de liberté d’expression » contredites dans les termes, puisque plusieurs personnes ont subi la mort sociale pour avoir dit, que les femmes existaient…

Vous êtes sans doute déjà tombé de votre chaise, mais il n’est pas interdit de penser un instant, qu’en France, le « Planning familial » vous explique que les hommes peuvent aussi être enceints. 

Vive donc la mondialisation de la bêtise ! 

D’autant plus, qu’une loi du 16 novembre 2018, autorisant à changer de sexe à l’état civil sur simple déclaration, et l’incitation à la transition sociale dès l’enfance, au mépris du principe de précaution le plus élémentaire, a été avalisée par la circulaire Blanquer de novembre 2021, alors qu’il était encore ministre de l’Education Nationale.

Ce jour-là sans doute, nos élus devaient alors se regarder le nombril, ou bien penser à une nouvelle réélection en votant pour, et en refilant le financement de la transformation nouvelle, à la Sécurité Sociale… Aux Etats-Unis la chirurgie sexuelle est évaluée à un chiffre d’affaires de 5 milliards de dollars d’ici 2030. C’est du pognon !

En outre, les lois interdisant les thérapies adoptées prévoient jusqu’à sanctionner les psychologues qui prennent en charge le mal-être des adolescents, au lieu de les envoyer manu-militari vers un traitement hormonal, puis chirurgical. 

De son côté, la grande prêtresse de « Balance ton porc » triomphe, en soulignant qu’il peut y avoir « des dommages collatéraux, mais qu’en revanche, le bienfait du mouvement est tellement important ! »

Que dire des victimes de cette idéologie d’Outre Atlantique ? Ceux qui ont perdu leur emploi pour avoir critiqué cette nouvelle idéologie, ou même après avoir prononcé un mot interdit vantant la méritocratie.

Et Emmanuelle Hénin qui commente le livre de Sylvie Perez de reprendre la phrase de Montaigne : « Chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition. » avant de conclure : « Le postmodernisme est résolument un antihumanisme ». A quand donc le changement de têtes ?

Encore heureux pour nous, que dimanche ait été « Jour de Pâques »… et de la Résurrection ! 

Celle des imbéciles aussi !